Étude
Dans cette étude, on se demandera si l’absence relative de femmes et de personnes LGBTQIA+ au sein des services d’aide sociale aux personnes sans-abri signifie vraiment un moindre besoin de ces personnes en la matière.
On regardera quels sont les facteurs de précarité matérielle, et s’ils sont exacerbés ou atténués selon le profil socio-économique.
On fera ensuite un petit tour d’horizon des services effectivement mis en place à destination de ce public, pour revenir à notre question de départ : est-ce que celui-ci présente moins de besoins ? A-t-on raison, en travail social, de ne s’y intéresser qu’en tant que public « minoritaire », et donc secondaire ?
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